Le monde est abreuvé par des images au point que ça nous paraît normal. Cela semble normal qu’il y ait 850 millions de personnes affamées. Cela semble normal que chaque jour 25 000 personnes meurent de faim. C’est « entré dans les mœurs ». Cela semble normal que plus de 830 000 personnes soient mortes en se suicidant cette année, quasiment le même nombre que des décès par un accident de la route (http://www.worldometers.info/fr/). C’est devenu tellement banal que nous ne sommes plus sensibles à la détresse dans le monde. Qu’est-ce que veut dire « souffrir de la faim » ? Nous sommes tellement loin de cette réalité !
Quelle est la place de l’église à toute ce tragédie, la place des hommes d’affaires et entrepreneurs chrétiens face au défis de notre ecosystème ?
« Les personnes souffrant de faim chronique sont sous-alimentées. Elles ne mangent pas assez pour obtenir l’énergie dont ils ont besoin pour mener une vie active, et ils ont du mal à étudier, à travailler ou même à jouer. Les enfants sous-alimentés ne grandissent pas aussi vite que les enfants sains. Leur cerveau se développe plus lentement aussi. La faim constante affaiblit le système immunitaire et les rend plus vulnérables aux maladies…» (http://www.fao.org/kids/fr/whatishunger.html)
Les hommes d’affaires et entrepreneurs croyants, chrétiens en particulier doivent retrouver la voix prophétique : Vivre l’abondance pour soutenir les personnes démunies.
La conférence des hommes d’affaires et entrepreneurs du plein évangile se veut :
- Sensibiliser les entrepreneurs et homme d’affaires chrétiens sur la nécessité d’être des acteurs de la philanthropie, la solidarité, des œuvres de compassion.
- Communiquer l’amour de la solidarité et d’aider nos semblables qui sont dans le manque.
- Avoir l’opportunité d’écouter les aînés nous livrer leur vision, nous partager leur expertise et nous divulguer de précieux conseils en matière de l’entreprenariat, la bonne gestion des finances.
- Présenter les secteurs touchés de notre écosystème et récolter des fonds pour lutter contre ces derniers (pauvres, orphelinats, sdf…).